Joy divisée
Comme j'avais bien aimé le précédent jeu du studio (Contrast), je me faisait une joie de plonger dans le nouvel univers très prometteur de Compulsion. Et quelle ne fut pas ma déception en découvrant...
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le 26 août 2018
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Tout est pompé dans ce jeu. L'univers steampunk dystopique est classique depuis Bioshock, la dialectique entre la belle époque victorienne et les bas-fonds anglais depuis Dishonored. Parlons surtout des mécaniques qui transpirent le manque d'inventivité, qui ne sont même pas introduites - comme si ça allait de soi (craft de rossignols et de potions de soin ; arbre de compétences ; furtivité et éliminations silencieuses...) -. Non seulement la narration n'a rien d'original (le délire dystopique autour de la drogue aussi, c'est du Bioshock), mais en plus elle est complètement infoutue d'introduire ses mécaniques de jeu (là où les modèles, eux, avaient compris que c'était là le cœur de ce que doit être un jeu vidéo). De fait, ce titre souffre la comparaison et tend le bâton pour se faire battre. Le level design est bien inférieur aux titres qu'il pompe, les niveaux fonctionnent moins bien pour déployer les mécaniques. Bref, un jeu sans aucun intérêt : mieux vaut rejouer à Bioshock et Dishonored, à tout point de vue.
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Créée
le 14 févr. 2024
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