[...] Alors, certes, on ne s'en cachera pas : Karuahy ne va pas réinventer la roue. Il ne se montrera pas forcément très surprenant pour quiconque connaît le Opeth du début des années 2000 sur le bout des doigts. Ce qui ne l'empêche pas de dégager de la passion et un savoir-faire indéniable, qui fonctionne très bien dans ce qu'il véhicule à l'auditeur, par-delà de son plaisir purement nostalgique. Et qui sait, si le 'sieur Méndez se décide à continuer le projet, peut-être parviendra-t-il à insuffler une personnalité d'autant plus affirmée à White Stones par la suite ?
La critique entière figure sur Core And Co, n'hésitez pas à aller y faire un tour !