City of night
Cela aurait pu être l'album de la renaissance, du retour aux sources plutôt. Après les errances des précédents opus, trois Doors d'un côté et Morrison de l'autre, un producteur s'échinant à recoller...
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le 1 sept. 2013
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Sorti en 1971 « L.A woman » est le dernier album des Doors (et sans doute le meilleur avec le premier mais dans un style différent)
Nettement moins psychédélique (sauf le morceau « L'America ») et nettement plus blues voire soul par moments que les albums précédents, la voix est plus rauque et donne parfois un côté un peu sombre au disque ; je dirai que c'est l 'album de la maturité et de l'apogée lorsqu'on connait la suite de l'histoire et le décès de Morrison juste quelques mois plus tard.
Pour moi il y a 3 titres phares « LA woman », « Riders on the storm » (ma préférée : attention chef d'oeuvre, un morceau très planant) et à un degré moindre « The changeling »
J'aime moins « Love her madly » qui met en avant le côté le moins intéressant du groupe, lorsqu'il cherche un peu la facilité aussi bien dans la musique que dans les mélodies.
Hormis la voix de Jim Morrison bien sur on ne dira jamais assez le travail des musiciens : mention spécial à Ray Manzarek à l'orgue/clavier toujours excellent même s'il est moins mis en avant ici que sur le premier album et Robbie Krieger ici à son aise dans un registre plus blues.
« L.A woman » est donc un album incontournable des Doors mais aussi de cette époque glorieuse que furent la fin des années 60 et le début des années 70.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes les meilleurs albums des années 70, mes chroniques "musique", Les meilleurs albums de 1971 et Mes disques
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le 14 oct. 2018
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4 commentaires
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