Koba le précurseur
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Koba, où comment le marketing peut stariser des attardés.
Il faut le savoir, les paroles proposées par L'Affranchi peuvent pour la plupart être littéralement sorties par un gamin de 11 ans, et relèvent d'un stade primaire de réflexion, c'est dire la pauvreté de l'album.
Lyrics pitoyables tout comme le personnage : un misogyne et homophobe mal camouflé qui ne maîtrise pas son discours public, qui n'a absolument aucune culture (qu'elle soit musicale ou autre, d'ailleurs !).
Difficile de ne pas lier l'"artiste" à sa musique tant il semble qu'on ne peut comprendre sa musique qu'en ayant regardé (et compris) l'attraction absurde qu'est Koba.
Perdu dans l'egotrip et les thématiques banales et omniprésentes comme la drogue, difficile de comprendre ce qu'on peut tirer de sa musique hormis quelques mélodies.
Créée
le 24 févr. 2021
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