Grand cru
En 2012, j'avais lu lors de la sortie du déjà très bon March of Progress, j'avais pu lire comme critique "Threshold est comme un grand vin qui s'améliore avec l'âge". Malgré un For the Journey un...
le 15 sept. 2017
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En 2012, j'avais lu lors de la sortie du déjà très bon March of Progress, j'avais pu lire comme critique "Threshold est comme un grand vin qui s'améliore avec l'âge". Malgré un For the Journey un tout p'tit en-dessous de son prédécesseur et lui recyclant allègrement certaines idées, je n'avais toutefois pas démordu là-dessus : Threshold était un très grand groupe, qui mérite mieux comme renommée.
Alors, bien entendu, quelle n'était pas mon excitation en apprenant l'heureux événement cet été : le prochain bébé est prévu pour le 8 septembre. Evidemment, je me suis jeté dessus, et le constat est sans appel : du grand, du très grand et j'ose avancer même le chef-d'oeuvre du groupe, et pourtant, ils ont une discographie bien riche et toujours à peu près égale. Je veux dire par égale qu'ils nous ont toujours habitués à de la qualité et ce dès Wounded Land. Mais cet album, je ne sais pas pourquoi, me laisse un arrière-goût "d'achievement" vous voyez ? Je vais pas en parler trop en détail, car sa longueur exigerait 5 écoutes minimum pour pouvoir en dire tout ce qu'on peut en dire, mais commençons par ça. Threshold, j'adore, mais il est vrai qu'assez souvent, quand j'écoute un album, arrive un moment où j'me dis "Oui, c'est cool, mais une petite pause fera du bien". Et là, d'une part avant sa sortie j'avais dit "Cet album va être celui qui me jettera à fond dans Threshold", et d'autre part, il y arrive alors qu'il est leur plus long album ! Miracle dirais-je, mais je dois surtout admettre que Threshold est un groupe d'artisans de la musique, qui le font par passion pure et par amour de leur art. Le reste, faut juste se laisser immerger par leur musique et ça devient un chef-d'oeuvre qui entretient le rêve. Ils savent se montrer aussi épiques qu'intimistes, aussi démonstratifs que minimalistes, aussi progressifs dans le métal que pop dans leurs refrains. Très honnêtement, pourquoi ne pas écouter et surtout, pourquoi ne pas aimer ?
Toute petite déception personnelle cela dit : le départ de Damian Wilson, qui est simplement mon chanteur préféré, qui semble flirter avec son ex depuis 1993 sans trop savoir s'il est bon de rester longuement avec, mais qu'il revient toujours. Cela dit, big up à feu Mac, Glyn Morgan (bon retour à toi aussi d'ailleurs !) et Damian Wilson, qui ont fait l'identité vocale de ce groupe, tous de façons très différentes, mais toujours avec inspiration et talent !
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Créée
le 15 sept. 2017
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