Richesse du coeur
Quatre ans après un premier album très réussi, Michael Kiwanuka transforme l’essai. On se rend vite compte que c’est bien plus que de la soul quand on prête attention aux accents psychés, que l'on...
le 30 déc. 2016
7 j'aime
Après un poli (et plutôt beau, disons-le) Home Again, dans lequel on se sentait, en effet, comme à la maison, Michael Kiwanuka hausse le niveau de plusieurs crans avec Love & Hate. Le compositeur britannique ne se contente plus de réciter (avec talent) ses gammes de soul, il devient carrément progressiste, tant dans la production que la construction de ses chansons, piochant dans le rock progressif, la dream pop, se tournant vers l’avenir du mouvement plutôt que vers son glorieux passé. Souvent accompagné de choeurs superbes, la musique de Kiwanuka est simplement chaleureuse et réconfortante.
Créée
le 15 sept. 2018
Critique lue 136 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Love & Hate
Quatre ans après un premier album très réussi, Michael Kiwanuka transforme l’essai. On se rend vite compte que c’est bien plus que de la soul quand on prête attention aux accents psychés, que l'on...
le 30 déc. 2016
7 j'aime
Bon j'ai fais la critique de son premier et de son troisième en étant un poil mitigé, pas sur le fait que cela soit pas bon, ou qu'il y est un manque de talent, bien au contraire, mais le coté...
Par
le 9 nov. 2019
6 j'aime
4
Après un poli (et plutôt beau, disons-le) Home Again, dans lequel on se sentait, en effet, comme à la maison, Michael Kiwanuka hausse le niveau de plusieurs crans avec Love & Hate. Le compositeur...
Par
le 15 sept. 2018
2 j'aime
Du même critique
Surprenante cette association entre Rebeka Warrior et Vitalic ? Pas franchement, et à bien des égards. D’abord, Rebeka Warrior est une familière du monde de la techno avec Sexy Sushi depuis des...
Par
le 10 mai 2019
7 j'aime
En interview dans le numéro d’avril de Mad Movies, Alex Garland se réclame d’un cinéma adulte qui ne donnerait pas toutes les clés de compréhension aux spectateurs, à l’instar du récent Anatomie...
Par
le 21 avr. 2024
5 j'aime
Les frères Safdie, producteurs de The Telemarketers, ont trouvé dans Patrick J. Pespas l'alter ego parfait de leurs personnages aussi décalés qu'attachants créés dans leurs longs métrages de fiction...
Par
le 3 nov. 2023
4 j'aime