Aujourd'hui, je m'ennuie au travail. Je me fais chier. Alors je vais sur Facebook, sur Twitter, voir les derniers artistes mis en avant par DeviantArt et je reviens sur Twitter. Et donc, je tombe sur une thèse : le titre de cette critique.
Pour attaquer un morceau comme celui-là, qui va me replonger dans une année de douleur de Sciences de l'éducation, j'avais besoin d'un album qui me permette de ne pas réfléchir à autres choses que la théorie que j'avais sous les yeux. Et avec cette album de Ratatat, c'est chose fait.
Depuis toujours, Ratatat est pour moi le groupe qui a su produire les meilleurs morceaux d'ambiance et depuis LP4, je suis littéralement tombé amoureux de leur patte si particulière. C'est certes extrêmement répétitif mais ça fais le job et c'est tout ce qu'on demande.
Je peux me concentrer sur ce que je vais tout en ayant une ambiance cool, sympa et détendu dans les oreilles, je n'ai pas à me concentrer sur les paroles pour comprendre quoi que ce soit, je n'ai pas besoin d'un personnage fictif dans les paroles pour être touché. Je n'ai besoin que des guitares et des ambiances simili-rétro de l'album pour me sentir bien.
Et je suis plus que content que Ratatat ressortent un album qui leur ressemble, qu'ils n'aient pas pris un virage dégueulasse pour plaire à la maison de disque. Ils restent eux-même pour mon plus grand plaisir.