Acier trempé
À la fin des années quatre-vingt-dix, Dream Theater fêtait ses dix ans de brouhaha et de riffs électriques, éclectiques et athlétiques. Mais pas de panique ! Une décennie… vous pensez ma bonne dame ...
le 9 janv. 2012
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Tellement de choses qui auraient pu être améliorées et tellement de questions qui me viennent à l'esprit venant de cet opus...
Pourquoi le spoken word sur Scene One ?
Pourquoi la division de Scene Two en deux dans la track-list (certainement un des agencements les plus stupides que j'ai jamais vus) ?
Pourquoi gâcher ce (relativement) bon début d'album avec Scene Three et son DTCESÉA (Déballage Technique Chiant Et Sans Émotion Aucune) ?
Pourquoi gâcher l'instrumentale de Through Her Eyes avec une mauvaise chanteuse de mauvais R&B et en faisant intervenir LaBrie (qui a, ici, décidé d'être insupportable) par la suite ?
Pourquoi Home me rappelle tellement Tool ? Pourquoi la voix susurrée au début de celle-ci, et pourquoi elle finit par 4 minutes de DTCESÉA alors qu'elle aurait pu se terminer bien plus tôt ?
Pourquoi sur Scene Seven, The Dance of Eternity consiste en 6 minutes de DTCESÉA (et totalement décousu en plus de ça), pour enchaîner sur la niaiserie sans nom qu'est One Last Time ?
Sur The Spirit Carries On, pourquoi ressortir Jennifer Carey et pourquoi LaBrie refait chier son monde ?
Pourquoi Finally Free est une fin aussi insipide ?
Ils ne voulait pas sortir un bon album, c'est ça ?
Créée
le 5 janv. 2022
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