Eléonore Fourniau a passé de nombreuses années en Turquie pour étudier le chant et le saz (luth de la Mésopotamie et du Caucase).
Au point d'être une artiste reconnue par les Kurdes et de sortir donc un 1er album solo : Neynik.
Sa voix chaude et ronde se pose à merveille sur des mélodies qui sonnent comme autant de chants profanes ou sacrés.
Elle est joue elle-même du saz et de la vielle à roue et est accompagnée par des instruments folkloriques des régions s'étirant des Balkans à l'Iran en passant par la Crimée et la Turquie (luths traditionnels, oud, flûte en bois...).
A l'arrivée une musique qui fait voyager et qui est porteuse d'émotions même sans comprendre les dialectes d'Anatolie.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Les meilleurs albums de 2024
Créée
le 11 avr. 2024
Critique lue 39 fois
2 j'aime
Du même critique
Ils sont des livres dont on se souvient toute sa vie. Mais avec un sentiment de satisfaction modéré, tiède. Celui-ci en fait partie. Et pourtant il était précédé d'une belle réputation - due à de...
Par
le 7 juil. 2021
11 j'aime
10
Lire l'Amant, c'est d'abord faire abstraction du film. Non pas qu'il soit mauvais, Les rythmes, les ambiances, la magie n'y sont juste pas identiques. Lire Marguerite Duras, c'est parcourir des...
Par
le 27 janv. 2021
9 j'aime
7
Ce tome de l'âge d'or est le 2nd de l'histoire et clôture donc magistralement cette quête de pouvoir médiévale. Son graphisme si particulier en est toujours la particularité. Au risque évidemment de...
Par
le 5 déc. 2020
9 j'aime
