Pas grand chose à dire sur cet album n'étant pas encore très calé en musique. Encore une fois c'est plus quelques notes. Vous êtes bienvenus pour venir ajouter votre grain de sel :)
L'album Notes propose une musique nouvelle, qu'on remarque très vite par l'électro qui ajoute parfois une légère touche de pop. J'ai pas trouvé ça dérangeant en tout cas.
La harpe et la voix sont accompagnées par plus de percussion, ce qui n'est pas pour me déplaire.
Les paroles quant à elle restent bien écrites. C'est pas la panacée de la poésie mais elles composent quand même une nouvelle fresque folklorique onirique et apaisante.
Enfin, l'album donne vraiment l'impression d'être plongé sous l'eau ou dans le brouillard très épais.
(14 mai) : l'album est quand même moins convainquant que l'album précédent Enfant du Vent. C'est génial que Cécile Corbel ait tenté d'autres ambiances et univers. Jouer sur la musique électrique crée un mythe tragique, perso j'imagine un royaume fantôme, très digne et triste à la fois (très Arthurien en somme). Pourtant même si c'est intéressant c'est moins frappant, moins touchant et moins caractériel que ses morceaux d'Enfant du Vent, j'ai personnellement été moins frappé. Sûrement parce que cet aspect brumeux et légendaire ne crée pas ce cocon intimiste que Cécile Corbel a l'habitude de partager avec beaucoup de vérité grâce à sa voix et ses instru.
J'ai peut-être moins été sensible aux paroles des deux albums (sur lesquels j'ai vraiment porté attention jusqu'ici).
Voilà pour l'ajout de ce 14 mai.