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Waterworld
Ne vous fiez guère au titre peu inspiré de cette critique, la comparaison entre le métrage de Kevin Reynolds et ce disque n'a pour unique trait commun les vastes étendues aquatiques. Autrement, le...
Par
le 4 sept. 2017
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Ocean Machine par stupidocratie
Je le conçois, la pochette du disque est assez moche, mais quelle claque lorsque l'on écoute la première chanson (Seventh Wave), un titre mid-tempo mélodiquement parfait et introduit par des samples du plus bel effet.
Le reste de l'album est emmené par des chansons mélodiques (Life, Night, Voices in The Fan, Greetings, Bastard), d'autres progressives à tendance ambiant (Sister, 3AM, Funeral, The Death of Music) et surtout des chansons que je considère comme cultes (Hide Nowhere, Regulator) qui font de cet album une première référence parmi les albums solos de Devin.
Le reste de l'album est emmené par des chansons mélodiques (Life, Night, Voices in The Fan, Greetings, Bastard), d'autres progressives à tendance ambiant (Sister, 3AM, Funeral, The Death of Music) et surtout des chansons que je considère comme cultes (Hide Nowhere, Regulator) qui font de cet album une première référence parmi les albums solos de Devin.
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le 26 déc. 2011
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https://www.thrashocore.com/chroniques/chronique/2075-ocean-machine-devin-townsend-biomech-1998-chro
A la fois puissant, calme, ample, dense, serein … le 1er épisode des aventures de Devin au pays des plaisirs solitaires (musicaux les plaisirs) atteint bien son but : les qualificatifs qu'il inspire...
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