Découvert avec Ocean Avenue au moment de la sortie de Lights and Sounds, Paper Walls est le seul et unique album que j'ai acquis au moment de sa sortie. plein de confiance alors que le groupe est en pause et que le changement de line-up semble être devenu une habitude du groupe. Que nenni, Paper Walls est le digne successeur des deux albums énoncés ci-dessus dans un style plus mature et fidèle aux origines.
Même si cet album ne comporte aucune de mes chansons préférées du groupe, il est surtout l'album qui comporte que des bonnes chansons. Il n'y a rien de juste correct ou passable. Toutes les chansons sont inspirées ce qui est plutôt de bonne augure.
The Takedown complétement punk avec un poom chak qui ravira les fans de la première heure.
Fighting avec sa rythmique frappa dingue qui se marie si bien avec le violon.
Shadow And Regrets qui rappelera un peu only one où Ryan se repousse dans les retranchements de ses cordes vocales
Light Up The Sky qui est peut-être la seule vraie chanson passe partout qui apporte sa fraîcheur commerciale insolente.
Afraid avec son refrain si puissant et cette mélodie enchanteresse au violon
Dear Bobbie si posée mais diablement envoutante grâce ce piano minimaliste mais efficace
Le fait est que le groupe a trouvé là le parfait équilibre entre pop rock et punk, le tout agrémenté d'un très sympathique Sean Mackin au violon qui avait déjà fait son nid au sein de la formation.
Yellowcard passera ensuite sur des albums un peu plus passe partout et un peu moins punk ensuite.
Paper Walls est certainement une belle conclusion de la trilogie de leurs très bons albums.