La note de l'album correspond uniquement au titre " Géricault " qui conclut l'ennui des sons qui le précédent et dont la critique va suivre.
Lacrim, harassé par une marche trop longue, blessé par cette roche aride et rude, écorché par les aspérités de la routé, s'élève par un effort ardent vers un espace limpide et pur.
Chargé de nouvelles tristesses, il sourit à son enfant intérieur et le rassure. Épreuve régénératrice et dernier refuge de celui qui a vaincu la cruauté de son moi. Baume apaisant qui étouffe ses anciennes angoisses et libère sa sensibilité solaire.