Rage Valley EP est sorti en 2011. Il compte quatre morceaux et c'est un véritable concentré d'énergie.
L'idée est clairement que sur les quelques minutes d'écoute, la tension ne retombe jamais, le son est plus gras par moment que sur 100% NMT, plus puissant, notamment sur Bonfire et Centipede (respectivement la deuxième et troisième track de l'EP).
Les deux autres morceaux sont probablement plus intéressantes à écouter : d'un côté le titre Rage Valley est si frénétique et crispant qu'on en serait presque amener à se concentrer uniquement sur le titre, impossible de faire autre chose à côté. Sleaze, quant à lui, ferme l'EP sur une note un peu plus "electro-trapstep conventionnel" assez inattendue. Alors que penser de cet EP se divisant entre brostep liquide et electro agressif ? Par ces deux aspects, son principal défaut serait l'hétérogénéité des quatre tracks assez troublante, Rage Valley EP n'en reste pas moins assez bon pour les amateurs de musique "débouche-chiotte" comme j'aime l'appeler.

evptibo
7
Écrit par

Créée

le 4 janv. 2015

Critique lue 124 fois

1 j'aime

evptibo

Écrit par

Critique lue 124 fois

1

D'autres avis sur Rage Valley (EP)

Rage Valley (EP)
evptibo
7

Un véritable concentré d'énergie

Rage Valley EP est sorti en 2011. Il compte quatre morceaux et c'est un véritable concentré d'énergie. L'idée est clairement que sur les quelques minutes d'écoute, la tension ne retombe jamais, le...

le 4 janv. 2015

1 j'aime

Du même critique

Skin
evptibo
10

Game Fuck

Skin, est pour le moment, l’album que j’attendais le plus cette année. Flume s’est révélé pour moi, très rapidement, comme un génie, quelqu’un qui a su trouver l’idée, CE son si particulier. C’est un...

le 7 juil. 2016

13 j'aime

2

Maigre (EP)
evptibo
8

Passionnant et extrêmement bien pensé

Un petit EP de cinq titres seulement et pourtant si complet ! Igorrr et Ruby My Dear, deux maîtres du breakcore et de l'IDM français ont créé une musique qui tient en un mot : passionnante. On a...

le 3 janv. 2015

13 j'aime

1

Singularity
evptibo
9

Merveilles du Monde

Le côté purement électronique de Jon Hopkins est un régal. Immunity était déjà une frappe d'une émotion froide et incroyable. Singularity prend le relais, comme si l'opus précédent s'imbriquait...

le 7 mai 2018

9 j'aime

6