Avec tous ces monstres en featuring (Moroder (Midnight Express), Pharell, Paul Williams (acteur et compositeur du Phantom of the Paradise de Brian de Palma), Panda Bear, Nile Rodgers...), on s'attend à des voyages, des retournements, des morceaux tous uniques les uns des autres, vernis par le son Daft qu'on a tant aimé, qu'on aime toujours et qu'on aimerait réentendre, pour voir ce que c'est devenu après tant d'années.
Au final, on voyage quand même un peu, c'est vrai, mais sur un marshmallow, dans un décor monochrome qui ne change que très peu, en attendant que ça se termine.