Bon, moi qui pensait que Beyoncé avait encore un poids dans le monde du show-bizz/musique américaine, bah cet album détruit totalement l'image de la grande Queen de jadis.
Un son qui aurait marché il y a 10 ans, du Beyoncé recyclé. C'est as-been, comment rivaliser avec ce genre de rendu face à tous les grand(e)s actuel(le)s.
Là où une Rosalìa réinvente les codes en apportant des influences et des rythmes nouveaux, les anciens mythes s'éffondrent. Pas de renouvellement, pas d'intérêt (je lui donne une attente artistique qu'elle n'a jamais eu). Pete Doherty phoenix qui renaît de ses cendres, Beyoncé se brûle ses ailes d'albatros.