Ecoutez ça et toutes les blondes aux gronibard seront à vous !
Une fois encore, on va la jouer courte. Et pour cause, le hasard du dépoussiérage auditif est peut-être tombé ce mois-ci sur un bien beau dossier de ma discographie mais il reste bien difficile d’aller dans les détails. Pourquoi aller faire de grandes sérénades sur quelque chose qui se passe de commentaires ? Car la loi du hasard a tranché et c’est tombé en ce mois de novembre sur Satanic Tuning Club de Gronibard.
Un petit mot quand même pour décrire ce groupe, pour le reste, je vous laisse la joie de découvrir par vous-mêmes (rassurez-vous, ça ne prendra pas longtemps). Comme son nom l’indique, vous pouvez attendre de Gronibard de la finesse et une fantastique utilisation du vocabulaire de nos grands poètes hexagonaux, ceux-là mêmes qui donnent à notre pays une si grande considération dans le domaine artistique et littéraire. Entre les épopées épiques et furieuses qui montrera quel grand chevalier courageux vous pouvez être et l’acoustique qui montrera à la gente féminine quel grand romantique sommeille en vous au-delà de votre bravoure. Croyez-moi, Satanic Tuning Club s’avère une excellente leçon express de séduction. Prenez ces vingt minutes de votre temps (ce n’est pas énorme) et vous verrez, là, cette jolie blonde super bien foutue qui est en face de vous. Eh bien cette bombe sexuelle, vous l’emballerez. Et encore, s’il n’y avait que ça…
Alors, mon petit gars, tu as toujours été un piètre séducteur, laisse les grands maîtres Gronibard s’occuper de toi et tu verras, ta vie changera. Finis les longues aventures nocturnes en solitaire, tu les choperas toutes… Oui toutes !