Peu de dire que Robert m'a rarement inspiré. Mais j'étais largement passé à côté de la new wave, cold or hot.
Je reviens (ou j'arrive, en réalité), en 2024, désireux de comprendre la smith attitude. Et j'écoute et réécoute l'album. Première impression : quelle est cette batterie lourdaude, surdominante ? Je n'entends qu'elle. Je ne comprends pas ce qui m'est raconté là. Comment peut-on faire un truc aussi pesant ?
Dans cet album, aux intros souvent longues (longuettes ?), j'ai eu l'occasion de me dire "tiens, un morceau instru !". Et puis, je vois que Robert finit par chanter. En réalité, ceci n'est pas un problème. D'une part, j'ai été éduqué aux intros pink floydienne. D'autre part, la voix de Robert me rebute un peu.
En réalité, de façon générale, l'ambiance "curienne" ne m'a jamais convaincu, vous l'aurez compris. Là, toujours pas. J'ai même l'impression que cet album, musicalement, est encore moins intéressant, que l'on se projette rétrospectivement dans les années 80 ou dans les années 20(20).
Désolé, c'est non. C'est quand même 4 parce que Endsong me parle un peu.