Avec Sabotage, Black Sabbath a tenté de simplifier sa musique, ce qui donnait un côté Hard Rock à l'album pas désagréable.
Dans Technical Ecstasy, on est encore sur un changement de style, peut-être plus radicale, mais dans une démarche assez opposée : plus de complexité dans les arrangements, des mélodies plus simples et accrocheuses mais avec des chœurs, et surtout la noirceur typique de Black Sabbath qu'on va exceptionnellement laisser au placard.
J'ai été très agréablement surpris par le résultat, car sur le papier rien de tout ça ne s'apparente à du Black Sabbath mais que ça fonctionne quand même. Peut-être que le fait que Queen commençait à se faire un nom dans le milieu a eu une influence, ça parait assez flagrant à l'écoute.
Créée
le 20 janv. 2022
Critique lue 74 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Technical Ecstasy
"Dis Cortex, tu veux faire quoi cette nuit?" "La même chose que toutes les nuits Ozzy, tenter de reconquérir le rock!" Ahlalala, après les superbes albums que nous a servi le Sabbath, fallait bien...
le 3 sept. 2014
3 j'aime
Avec Sabotage, Black Sabbath a tenté de simplifier sa musique, ce qui donnait un côté Hard Rock à l'album pas désagréable. Dans Technical Ecstasy, on est encore sur un changement de style, peut-être...
Par
le 20 janv. 2022
2 j'aime
C'est peu de dire que les piliers du Hard Rock britanniques, traversèrent une crise existentielle dans la seconde moitié des années 70, Black Sabbath n'y échappera pas. Jusqu'alors véritable...
Par
le 30 mars 2020
2 j'aime
Du même critique
Ahlala c'est toujours embêtant de voir un méga classique du cinéma et de trouver ça ennuyeux comme la pluie. Le pire, c'est que je ne suis pas un cas isolé avec Le parrain, des gens qui trouvent ce...
Par
le 19 janv. 2019
47 j'aime
2
Ahlala les fans hardcore de Star Wars. Ces gens qui hurlent sur un film qui propose des idées et trouvent merveilleux un scénario absolument vide qui ne raconte rien, fait du fan service et se veut...
Par
le 30 déc. 2019
35 j'aime
13
J'aime bien Quentin Dupieux mais à un moment il faudrait quand même arrêter de se moquer du monde. Avec quatre stars à l'affiche et les débuts à l'écran de Manuel Guillot en second couteau, Le...
Par
le 17 mai 2024
23 j'aime
2
