Même si « The Eternal Idol » n’est pas inécoutable, il s’avère en revanche globalement particulièrement terne et révélateur du manque de vitalité de la musique du groupe à cette époque.
Privé de ses coéquipiers, Iommi semble bien seul et son talent s’être délité au fil des temps.
Le choix de Martin est problématique, car si ce chanteur dispose d’indéniables qualités vocales, son style trop lisse, manquant de puissance ne lui permet de s’imposer dans une entité à l’image aussi marquée que celle de Black Sabbath.
En 1987, Black Sabbath ressemble donc pour moi à une belle coquille vide sans réelle âme.
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