The Golden Age ou la BOF du meilleur film
Lorsque l'on écoute cet album pour la première fois, la seule pensée qui nous traverse l'esprit est celle d'une énième musique de film, et pourtant...
L'album est un peu comme ces oeuvres inadaptables ou comme un film que l'on regarde encore et encore pour réussir à l'apprivoiser. Chaque morceau dégage sa propre émotion, son propre sentiment après le coeur de son titre, sa sublime envolée cinématographique.
L'envolée, elle, est tintée de brutalité, les percussions sont là pour nous arracher nos pensées, nous prévenir qu'à la fin de cette galette "l'age d'or" nous hantera pour sublimer le plus beau film épique qui existe : L'Imagination...
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