Des pirates à l'église.
A l'ère de Lana Del Rey et des jeux vidéos nés pour mourir en blue jeans, on en viendrait presque à oublier Alela Diane, petite américaine au timbre de voix rappelant les idoles des 50's, au même...
le 20 févr. 2012
4 j'aime
Mon dieu, que ce début d'album est impressionnant : austère, immémorial, vertigineux même ! La voix, parfaite, d'Alela Diane. La puissance des allégories, aussi simples que radicales, puisqu'on semble toucher du doigt l'essentiel de la vie : famille, amour, terre, on est dans l'Amérique des origines, celle dont on peut se moquer mais qui a quelque chose de tellurique dans son primitivisme. Et puis, au fil des chansons, la fascination s'épuise, The Pirate's Gospel ne tient pas vraiment la distance, le cœur ne se serre plus autant, on revient dans le domaine plus rassurant du folk éternel. Dommage ! N'empêche qu'on a tremblé, et ça, ça n'a pas de prix ! [Critique écrite en 2008]
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Liste chronologique des concerts auxquels j'ai assisté [en construction permanente]
Créée
le 26 févr. 2015
Critique lue 254 fois
3 j'aime
D'autres avis sur The Pirate's Gospel
A l'ère de Lana Del Rey et des jeux vidéos nés pour mourir en blue jeans, on en viendrait presque à oublier Alela Diane, petite américaine au timbre de voix rappelant les idoles des 50's, au même...
le 20 févr. 2012
4 j'aime
Mon dieu, que ce début d'album est impressionnant : austère, immémorial, vertigineux même ! La voix, parfaite, d'Alela Diane. La puissance des allégories, aussi simples que radicales, puisqu'on...
Par
le 26 févr. 2015
3 j'aime
On découvre Alela Diane sur un album rare à la beauté épurée, humble et authentique. La jeune chanteuse étire sa voix claire, profonde et puissante malgré la retenue, sur des complaintes folks aux...
le 4 mars 2015
2 j'aime
Du même critique
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
191 j'aime
115
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
190 j'aime
25