La meilleure BO pour parcourir la route 66 d’est en ouest ? La discographie de Calexico, sans hésiter ! Le romantisme et la mélancolie de Joey Burns et John Convertino ont d’abord senti la poussière, les grands espaces vierges et desséchés, les saloons déserts ; pour ensuite, à la moitié des années 2000, embrasser un son plus pop, quand il s’agissait d’abord de faire valoir la voix caressante et intimiste de Burns. Et The Thread that keeps us dans tout ça ? Comme toujours, ce bonheur sans cesse renouvelé de retrouver le son de batterie magique de Convertino et cette palette d’émotions et de sons, entre rock sudiste, folk intimiste et chaleureux, avec ses percées de bruit contrôlé et ses airs mariachis gavés de soleil.
Créée
le 5 janv. 2019
Modifiée
le 11 juin 2024
Critique lue 85 fois
D'autres avis sur The Thread That Keeps Us
Le groupe de Tuscon nous régale depuis ses débuts ! Même quand ils font des albums moyens c’est toujours très plaisant. Ici, on retrouve Joey Burns, John Convertino et leurs potes musiciens avec...
Par
le 17 mai 2018
Du même critique
La salle de procès qui introduit Les Chambres rouges est d'un blanc immaculé et incarne aussi bien l'inoffensivité de son propos que le vide existentiel qui traverse son héroïne Kelly-Anne. On ne...
Par
le 24 janv. 2024
8 j'aime
2
En interview dans le numéro d’avril de Mad Movies, Alex Garland se réclame d’un cinéma adulte qui ne donnerait pas toutes les clés de compréhension aux spectateurs, à l’instar du récent Anatomie...
Par
le 21 avr. 2024
6 j'aime
Pseudo film coup de poing filmé soi-disant en temps réel. Bon en fait c'est sidérant de littéralité (cf cette scène d'exposition interminable où la réalisatrice s'attache à bien cocher toutes les...
Par
le 2 janv. 2023
5 j'aime
