Génésis , comme Pink floyd , sont des noms oubliés par les jeunes et il ne faut pas compter sur des stations comme France Inter pour diffuser un titre , même par inadvertance : le rock progressif , c ‘est commercial , Clara Luciani , Chris & the queens , non .
Un groupe découvert par la fin
J‘avait quatorze ans à l ‘ époque . Le Génésis dernière période , celle , soi-disant honni par les « puristes « était neuf pour moi , les clips , promouvant « we can ‘ t dance « vendait une œuvre très différente de ce qui passait à l ‘ époque par la TSF , en effet le trio Banks – Rutherford – Collins ne sonnaient pas comme le Metallica en boucle , mélangé à l ‘ eurodance du moment sur Fun Radio . On me dira , bien que j‘écoutait le 101 de Depeche Mode , je ne découvrais véritablement le groupe de Basildon qu ‘ avec « song of faith and devotion « .
We can’t dance , comme division bell : les derniers feux du rock prog
J ‘ ai donc découvert Génésis , sous les auspices « pop « de Phil Collins , « we can ‘ t dance « est de fait l ‘ album le plus accessible du groupe , celui qui vieillit le mieux , par exemple « driving the last spike « est un superbe morceau progressif , certes , plus jeunes je préférerais , naturellement les tubes formatés radios , mais l ‘ age venant , je préfère les longues plages .
We can ‘ t dance est un album homogène , ce n ‘est pas « Génésis « , qui lui est typé 80’s . Ce qui déplaît encore aux « puristes « , c ‘est l‘ironie sous jasent de la période Phil Collins , je suis désolé , j ‘ aime aussi Peter Gabriel , mais en solo . Sa trilogie « so « - « passion « us « est passionnante . Mais en leader de Génésis , c ‘est non .
Génésis , comme Pink Floyd étaient des groupes de scènes , jeté un coup d ‘ œil sur « the way we walk live « sur YouTube , qui est la quintessence du groupe et qui me permit de découvrir , lors de la sortie du live ( en deux disques vendus séparément ) de découvrir leur parcours .
Derniers rayons de soleil avant le trip hop
On a souvent tendance à l‘oublié , mais les années 1990 ont été une décennie dépressive . Les couleurs les plus portées alors étaient le gris et le noir . Avec « we can ‘ t dance « , la musique , commence à toucher la dépression du bout de la corde .
Cette même année sortira dans un certaine indifférence le premier disque de Massive Attack , qui jusqu ‘ a la french touch , mettra en onde sonore la sourde dépression d ‘ une trop longue après midi pluvieuse .