Un Heat Death Infinity Splitter qui frappe fort d'entrée de jeu (meilleur morceau de l'opus, perdez pas votre temps à discuter), un Prisms dans son sillage, et un The Undertow qui vient tout annihiler avec son piano rasoir et sa longueur excessive.
Blackspots vient rattraper ces conneries, presque oubliées avec Sleepwalk City, mais Taipei offre un nouveau frisson, non pas en adoptant l'aspect enveloppant de HDIS (et qui fait qu'il est au dessus des autres), mais en hésitant à flirter avec le Mono et le Mogwai, heureusement qu'il se ressaisit à temps.
Unmake the Wild Light et Safe Passage permettent de conclure l'opus sur une bonne note.
La longueur de Wild Light est probablement la cause de ce manque de constance, qui ne l'empêche tout de même pas d'être plutôt bien bon.