Alors, voila, pour ma première critique sur ce nouveau compte, j'ai décidé de commencer avec cet immense album, cette pépite, ce concentré de magie musicale.
Wish You Were Here est considéré comme un des meilleurs albums des Floyd, avec The Wall et The Dark Side of the Moon. Certains seront dans l'école "Ouais Dark Side of the Moon il est trop bien, c'est le début et l'achèvement du début, après ça devient trop aseptisé, c'est plus trop du Pink Floyd et c'est bien moins bien". Après y'a ceux qui sont à fond sur The Wall "Wha The Wall il est ouuuuf, il est peut être l'album des Floyd le plus expérimenté et expérimental et il est méga putain d'ambitieux." Et ceux qui comme moi aiment tout simplement la douce magie, douce force et quasi poésie de Wish You Were Here.
Après avoir écouté quelques albums dudit groupe, je pense pouvoir me dire "fan" de Pink Floyd. Les Floyd ce sont les gars qui à chaque morceau, chaque album, se renouvellent. Il y a toujours une petite nouveauté à comprendre, chercher, cerner. Surtout dans Wish You Were Here, très novateur dans sa forme et son fond comparé au reste de leurs albums. Dès Shine on Your Crazy Diamond Parts 1-5, une mélodie, prête à rester à vie dans notre tête, un son harmonieux qui résonne en cœur dans notre esprit, est présent. Le boulot sur le coté progressif du rock est poussé très loin, bien plus que dans d'autres morceaux des Floyd, même si on peut toujours penser à Atom Heart Mother avec son morceau d'intro.
Puis vient Welcome to The Machine, Have a Cigar, le célèbre Wish You Were Here, peut être le morceau le plus célèbre du groupe, et on arrive enfin au grand final, Shine on Your Crazy Diamond Parts 6-9. Je ne m'attarderai pas sur chaque morceau car ils sont tous superbes, puissants et font l'immense force de l’œuvre à eux seuls.
Je voudrais un peu néanmoins parler de Have A Cigar, qui est certainement le morceau le moins connu de l'album, et qui est superbe. Du début à la fin, tout est prenant, les paroles ne sont peut être pas les plus belles mais le morceau est putain de prenant et défonce tout.
Je finirai par dire : "It's not the Endless River, it's just begins"