[...] Tout ceci fait que, mine de rien, Electric Wizard parvient à se rafraîchir. Et à échelle toute relative, à se réinventer. Un peu comme si un timide halo de lumière venait estropier une ombre poisseuse aussi fourbe que récalcitrante. S'estomper pour mieux happer, tel est ce qui pourrait définir le mieux ce Wizard Bloody Wizard. Un nouveau cycle qui s'ouvre et semble s'augurer sur une veine créative placée sous les meilleurs hospices. Même si l'on craint quand même que le fait de posséder un studio digne de ce nom ne vienne l'épuiser bien trop rapidement, sans fermentation.
La critique entière figure sur Core And Co, n'hésitez pas à aller y faire un tour !