En soi, ce n'est pas l'année la plus glorieuse du Tisseur, mais force est de reconnaître que malgré un style graphique toujours en chute, les numéros ont leur lot d'originalité. Du 262 au 268, ainsi qu'avec l'annual 19, on a une suite d'histoires sans grande continuité somme toute assez sympathiques (le schéma est aussi présent dans Spectacular).
Le 267 nous présente en particulier une visite dans la banlieue absolutement ridicule mais très plaisante à lire.
En dehors de ça, ce n'est pas génial, mais pas déplaisant pour autant. Seulement, on est toujours très loin de l'intensité de la run de Conway !