Rose d'adieu.
Un bijou de gameplay au point que je peux enfin pousser la note jusqu'à 9 sur un projet estampillé "Fabula-j'ai-eu-les-yeux-plus-gros-que-le-ventre". Parlons-en justement de cette mythologie: à...
Par
le 24 mai 2014
26 j'aime
8
... voilà une accroche commerciale trop audacieuse pour un récit cumulant des situations vues et revues. Si l'influence SAO est reconnaissable de suite (l'héroine Roxy est un copier/coller d'Asuna), il y a aussi une grosse inspiration sur Final Fantasy avec le bestiaire: on verra des affrontements face à des ultima arma et un certain dragon aux airs très familiers. On la reconnait vite la génération d'auteurs biberonnée aux RPG. Par contre, le coté sombre à la Berserk m'a moins sauté aux yeux. Fate (le héros) a la faculté de dévorer les âmes: il le découvre après son premier meurtre. Ce pouvoir va vite s'avérer encombrant à cause d'une dépendance grandissante. Pour ne pas être dévoré par cette dernière, Fate va devoir prendre sur lui et agir masqué pour protéger Roxy, sa dulcinée qui ignore tout de son mal. Il faut avouer que l'idée de base est pas mal mais les évènements peinent à être inventifs, noyés par de nombreuses bastons. Et le casting assez mince manque clairement de profondeur. Bref, je n'y ai pas trouvé la noirceur tant promise par le pitch de départ malgré une orientation Resident Evil sur les derniers chapitres dispo. Après 35 chapitres lus, c'est pour l'instant une serie B juste honnête.
Créée
le 15 oct. 2021
Critique lue 112 fois
Du même critique
Un bijou de gameplay au point que je peux enfin pousser la note jusqu'à 9 sur un projet estampillé "Fabula-j'ai-eu-les-yeux-plus-gros-que-le-ventre". Parlons-en justement de cette mythologie: à...
Par
le 24 mai 2014
26 j'aime
8
Mettre Gwen Stacy et le Bouffon vert dans le même film, ça suscite forcément une grande curiosité surtout lorsqu'on sait comment se passe la rencontre entre ces 2 personnages dans le comics d'origine...
Par
le 5 mai 2014
21 j'aime
3
Cinq français ont osé l'impossible : scénariser un vrai épilogue sur l'animé pionnier de la popularité de la japanim' en France, le fameux Goldorak de Go Nagai. Lorsque le prince d'Euphor a débarqué...
Par
le 17 oct. 2021
15 j'aime