Peut-être est-ce parce que je n'ai été qu'un lecteur épisodique de la série, et que je ne ressens donc pas la lassitude de certains à l'heure de ce dix-huitième tome, mais à mon goût, ce nouvel album fonctionne à merveille !
Le dessin est toujours aussi bon et la couleur est à l'honneur, avec des scènes nocturnes ou d'incendie.
Les gags s’enchaînent sans se répéter. Toutes les scènes, des excursions au village à la consultation chez le psychanalyste en passant par la pendaison de crémière provoquent leur lot de barres de rires. On retrouve aussi les références et les détails qui font sourire.
Le scénario reprend l'un des fils rouges de la série, avec les échecs architecturaux répétés de Pröfy. L'idée est bien exploitée et amène un personnage de psychanalyste peureux très réussi.
Excellent nouvel album donc, pour une excellente série.