Ce que j’aime dans les one-shots, c’est qu’ils sont courts, ou du moins relativement. « Sans aller à l’école, je suis devenu mangaka » fait quand même 292 pages.
Un grand nombre de non-lecteurs de manga, pensent que les mangas appartiennent à un genre qui n’est fait que pour les adolescents, livre rempli de sang, d’action, etc. Mais les mangas, ne sont pas uniquement Naroto, Dragon Ball.
Le genre seinen qui touche un public jeune adulte a tendance à publier des « histoires plus sérieuses ». Le style narratif et graphique du seinen sont généralement plus réalistes, avec une utilisation plus approfondie de la trame,
Tout ça pour vous dire que l’histoire de ce manga, pourrait facilement être retranscrit dans un roman.
Le narrateur et véritable mangaka de cet ouvrage raconte sa difficulté à être scolarisé. Sa passion pour le dessin qui le sauvera de son asociabilité.
Sa rencontre avec Tanahashi (le papa de Dragon Ball) lui fera prendre conscience que son don pour le dessin, l’effort, et beaucoup de travail sera la solution a son problème.
Une œuvre tendre et émouvante, où l’auteur se dévoile sans pour autant être mélodramatique.
SI vous n’avez jamais lu de manga, je vous invite à découvrir « Sans aller à l’école, je suis devenu mangaka », qui vous fera voir les mangas d’un autre œil.
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