Je sais pas dessiner, j'ai rien à raconter mais je le fais quand même...
Jamais été attendri par ce débile mégalo qu'on essaye de nous vendre depuis pas mal d"années déjà. J'ai jamais réussi à finir une seule aventure de Lapino, m'a t'on dit la meilleure de sa création ( ah zut...). Je parle même pas de la mouche qui résume bien le concept paresseux de ce sous-hauteur un poil surestimé.
Et c'est un soir sur l'insistance un brin maniaque d'une connaissance de mon entourage que je me retrouvais à lire cette bd autobiographique. On me l'avait prêté je précise...
Reprenant l'idée majeur du journal intime largement véhiculée par sa maison d'édition, l'association, il brosse son autoportrait comme l'avait fait David B avec "L'ascension du haut mal". Bien sûr il est inutile de vous dire qu'il n'a pas le talent de David B...
L'histoire d'un individu particulièrement antipathique, raté notoire qui cumule les actes manqués et anecdotes dérisoires de tous bords... houlà quelle histoire et profonde, encore une fois....
Ba malgré la veine tentative de cet acolyte d'un soir à me faire croire qu'il s'agit d'un chef d'oeuvre de la BD ( de qui se moque t'on ), je remarque toujours les mêmes insistances et suffisances de "l'auteur" à s'enterrer dans ses tics et prendre des lecteurs de bd, un tant soi peu exigeants, pour des cons...
Les lecteurs ne sont pas forcément des autistes désintéressés par la consistance d'une trame ou d'un dessin achevé. Et j'attends pas après Trondheim ( heureusement ) pour sauver l'intérêt de la bd franco-belge.
J'arrêterai également ma critique ici car je n'ai trouvé aucun intérêt dans sa vie qu'il essaye de nous vendre tel un enfant roi qui ne connait pas la valeur des choses.
Mon conseil personnel, passez vite votre chemin et évitez cette bd vendue qui plus est la peau du cul...
A fuir !!!