Je vivais dans un cauchemar depuis une vingtaine d'années. Les Astérix se suivaient, décevants, à la limite du ridicule, mercantiles, sans saveur, sans odeur... Et puis Uderzo a passé la main. Le dessin de Didier Conrad respecte clairement le trait du patron. Les mots de Ferri rappellent ceux de Goscinny. Alors qu'Uderzo faisait depuis vingt ans du réchauffé minable (ceci sans faire injure à son génie pour le dessin), Ferri a su redonner une âme à Astérix.
J'ai ri comme je ne l'avais plus fait depuis Astérix chez les belges. Voilà. Je suis heureux. Astérix est revenu.
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