Un bijou d'absurdité sous fond de rock n roll lutécien. Obélix a le droit a sa minute de gloire, tout comme Assurancetourix. Plein d'humour et à domicile, une aventure vraiment drôle que je connaissais peu au final. Et j'ai bien marché, vraiment. Goscinny signe des dialogues mémorables et l'expressivité qui se dégage des visages poilus d'Uderzo est fascinante. Les plans sont bien construits, le découpage de l'album classique mais le tout témoigne d'une impressionnante fluidité.
Un sens de la réplique, et une distribution de baffes normandes. Des leçons de cuisine, sanglier, fraise, poissons, le tout à la crème. De nouveaux gimmicks avec Idéfix qui déteste qu'on arrache les arbres et Cétautomatix le forgeron qui commence a prendre sa forme finale (un peu comme un pokémon). Et en bonus la plus belle descente de lit (selon Panoramix).