Pour ce second tome, Cauvin s'est documenté un peu plus et parvient à tisser la toile de cet univers policier. Les gags tournent plus autour de la fonction du héros, le décor est affiné (le bureau), les personnages secondaires précisés (le commissaire va enfin prendre sa forme définitive), et heureusement, Cauvin a abandonné ses personnages récurrent du premier album.
De son côté, Kox maîtrise mieux ses décors et ses personnages sans rien perdre de son encrage. Le découpage manque encore cruellement d'originalité, mais tant que ça reste lisible, c'est déjà ça.
Bref, un deuxième tome plus efficace ; on sent que l'univers est plus réfléchi.