Argenterie contre tronçonneuse
La suite directe du tome 2, qui commence donc sur le combat "final" où nous laissions nos héros. Encore un savoureux mélange de duel épique, de dialogues amusants (Grell est hilarant et très...
Par
le 6 févr. 2021
La suite directe du tome 2, qui commence donc sur le combat "final" où nous laissions nos héros. Encore un savoureux mélange de duel épique, de dialogues amusants (Grell est hilarant et très fantasque, on valide), de drame déchirant (
la tante Madame Red qui décède en renonçant à tuer son neveu qui lui rappelle sa sœur adorée...
On ne s'en est toujours pas remis, on ira même jusqu'à dire que l'on aurait préféré une fin plus heureuse pour ce personnage devenue malgré tout attachant), et l'introduction de William T. Spears qui deviendra un personnage récurrent par la suite. On regrette seulement quelques dessins de combat assez illisibles (on ne comprend pas ce qu'il se passe exactement dans la vignette) , quelques gags qui reviennent trop souvent ("Sebas-Chan", gag lourd à la longue des répétitions) et une intrigue moins palpitante que dans les deux premiers tomes (on se contentera de clore l'histoire du deuxième, afin de laisser la place nette à un quatrième opus qui pourra embrayer avec une nouvelle intrigue). Mais on ne boude pas son plaisir, comme toujours, avec cette saga, entre les dessins raffinés, les personnages vite indispensables et une ambiance londonienne du dix-neuvième dépeinte comme si on y était.
Créée
le 6 févr. 2021
Critique lue 47 fois
D'autres avis sur Black Butler, tome 3
La suite directe du tome 2, qui commence donc sur le combat "final" où nous laissions nos héros. Encore un savoureux mélange de duel épique, de dialogues amusants (Grell est hilarant et très...
Par
le 6 févr. 2021
Du même critique
Certes, David Lynch a un style bien à lui et reconnaissable entre mille, mais il faut l'aimer, si l'on veut s'extasier devant Mullholland Drive. Subjectivement, on n'y a rien compris, si ce n'est...
Par
le 9 oct. 2021
51 j'aime
Un Wes Anderson qui reste égal à l'inventivité folle, au casting hallucinatoire et à l'esthétique (comme toujours) brillante de son auteur, mais qui, on l'avoue, restera certainement mineur dans sa...
Par
le 29 juil. 2021
49 j'aime
On sortait de plusieurs drames "qualitatifs mais pompeux" (on va le dire poliment) dans ce Festival de Cannes 2024, alors quand vous vous asseyez en bout de rangée (Team Last Minutes), et que le papy...
Par
le 28 mai 2024
45 j'aime