Top Chef : le curry.
Et si l'on faisait tourner le combat final du tome dernier en concours de curry façon Top Chef ? Aussi incongrue que sortie de nulle part, il s'agit pourtant bien de l'intrigue de ce cinquième opus...
Par
le 6 févr. 2021
Et si l'on faisait tourner le combat final du tome dernier en concours de curry façon Top Chef ? Aussi incongrue que sortie de nulle part, il s'agit pourtant bien de l'intrigue de ce cinquième opus de la saga Black Butler. Et malheureusement pour nous, ce cinquième tome n'a rien d'autre à proposer en accompagnement que ce MasterChef indien. Même si l'on devient incollable sur la recette du curry (on hésite à s'en préparer un dans la foulée, ayant de bons conseils cuisine dispensés dans ce livre, et les visuels nous mettant en appétit...), on regrette de n'avoir rien d'autre à se mettre sous la dent (pour de bon). On sait d'emblée qui gagnera le concours, sans surprise dans le final qui enfonce les portes ouvertes, mais l'on se console de voir la pérennité du duo Soma-Aghni, la résolution de l'intrigue permettant d'asseoir le caractère "personnages indispensables" de ces deux rigolos. On aimera les retrouver à l'avenir pour amener un peu de fraîcheur, de gags inattendus dans les enquêtes sérieuses du Comte. Sans plus s'attarder (s'attabler ?) à ce concours de curry tout vu d'avance, passons au plat suivant qui nous paraît déjà alléchant : le tome 6... N'empêche qu'on se ferait bien un petit curry, maintenant.
Créée
le 6 févr. 2021
Critique lue 44 fois
D'autres avis sur Black Butler, tome 5
Et si l'on faisait tourner le combat final du tome dernier en concours de curry façon Top Chef ? Aussi incongrue que sortie de nulle part, il s'agit pourtant bien de l'intrigue de ce cinquième opus...
Par
le 6 févr. 2021
Du même critique
Un Wes Anderson qui reste égal à l'inventivité folle, au casting hallucinatoire et à l'esthétique (comme toujours) brillante de son auteur, mais qui, on l'avoue, restera certainement mineur dans sa...
Par
le 29 juil. 2021
49 j'aime
On sortait de plusieurs drames "qualitatifs mais pompeux" (on va le dire poliment) dans ce Festival de Cannes 2024, alors quand vous vous asseyez en bout de rangée (Team Last Minutes), et que le papy...
Par
le 28 mai 2024
41 j'aime
Certes, David Lynch a un style bien à lui et reconnaissable entre mille, mais il faut l'aimer, si l'on veut s'extasier devant Mullholland Drive. Subjectivement, on n'y a rien compris, si ce n'est...
Par
le 9 oct. 2021
41 j'aime