Suite de Métro Châtelet direction Cassiopée, Brooklyn Station terminus cosmos est logiquement fait du même moule. L'intrigue se poursuit donc, mais devient un peu répétitive dans un premier temps (Valérian qui doit éradiquer des êtres qui ne devraient pas se trouver là) et se précise autour de deux groupes industriels qui se font une concurrence féroce. Nos héros doivent faire en sorte qu'aucun d'eux n'arrive à ses fins.
A la fin de la lecture on se dit que c'est tout de même un peu trop bavard et que les références un peu trop appuyées (étalage culturel) donnent finalement une sensation mitigée de cet ensemble, mais au bout du compte, la qualité graphique permet de conserver une atmosphère mystérieuse qui sert le propos.
Une petite déception donc à cause d'un Christin trop bavard sauvée toutefois par le talent graphique de Mézières. Cette paire d'albums est l'histoire favorite de ses auteurs. Ça peut se comprendre vu le temps qu'ils on passé dessus, mais le résultat n'est peut-être pas aussi probant.