La famille c'est toujours compliqué. Il y a toujours des histoires des déchirements, mais aussi des réconciliations, bref la famille c'est complexe, mais celle que nous avons n'est pas composé de dieu comme Apolon, Hermès, Neptune... Alors imaginez, les soucis que doit avoir Diana, lorsqu'elle a appris qu'elle était la fille de Zeus et surtout qu'elle est maintenant officiellement le dieu de la guerre
vu qu'elle à tué Arès dans le dernier tome
Entre trahisons, réconciliations, combat, Azzarello continue de nous faire vivre les combats interne pour le contrôle de l'olympe et la survie du petit que protège Diana. Le scénariste fait vire les personnage n'épargne personne et je pense qu'aucun des dieux n'est finalement indispensable. Ce tome le prouve encore avec un retournement attendu, mais je l'aurais pas vu aller jusque là. Ca se lit vite, très vite, et pourtant il se passe plein de chose.
Azzarello continue en solo de faire vivre Diana, en lui apportant bien plus de profondeur que la plupart des scénaristes qui l'a décrivent dans d'autres titres (elle est présente dans JL, Superman/Wonder Woman...)
Au dessin Cliff Chiang est toujours aussi bon et ça reste un régal pour les yeux.