Tout y est
Un dessin simple et efficace, une narration bien conduite et franchement amusante, au service d'une BD très très réussie qui décrit le monde psychiatrique et ses évolutions. Je n'en demande pas plus !
Par
le 13 janv. 2016
... oui bon, ok, mais ça change. Les quelques pages horrifiques du premier tome s'espacent (dont celle décrivant l'affreuse salle "du fond"), pour laisser place à des bizarreries et des changements vus comme extra-terrestres par beaucoup à l'époque, avec l'arrivée de traitements moins barbares et le début d'une vision du malade mental non comme menace mais comme, juste, malade en souffrance, à accompagner, pas seulement à enfermer et rendre KO. Et je me dis qu'en l'espace d'à peine cinquante ans, les progrès humanistes en la matière ont été considérables, malgré tous les problèmes encore existants. Le genre de bande dessinée qui permet de voir le monde dans lequel ont vécu mes parents et grands parents d'un autre œil, plus compatissant en quelque sorte, vu le niveau de violence encore bien intégré qui régnait à leur époque, notamment envers les personnes les plus dépendantes de notre société.
Créée
le 28 nov. 2024
Critique lue 1 fois
D'autres avis sur Crazy Seventies - HP, tome 2
Un dessin simple et efficace, une narration bien conduite et franchement amusante, au service d'une BD très très réussie qui décrit le monde psychiatrique et ses évolutions. Je n'en demande pas plus !
Par
le 13 janv. 2016
Du même critique
Ben non. Abscons c'est Inland Empire, ou la troisième saison de Twin Peaks, ou le cinéma expérimental hongrois peut-être. Et dans la même thématique des boucles temporelles, Tenet est mille fois plus...
Par
le 11 juil. 2023
3 j'aime
Ben oui, j'etais parti plein de bonne volonté, étant amateur de cyberpunk. Ça part tranquillement avec une intrigue typiquement Gibsonienne, avec des oligarques qui se mettent sur la tronche avec des...
Par
le 22 juil. 2024
1 j'aime
Un peu comme un film de une heure trente qu'on aurait étiré sur des dizaines d'années pardon d'heures. C'est un peu long.
Par
le 20 juil. 2024
1 j'aime