1er volet d’un diptyque, Cuba, où tout a commencé est en dessous des volumes 26 & 27. La mise en place de l’histoire est un peu laborieuse et complexe à la fois : la mission de XIII – plus que jamais manipulé par la Fondation MAYFLOWER via sa femme Janet – ne débute vraiment qu’à la page 16 de la BD et l’action s’accélère réellement à la moitié de l’épisode ; il s’agit de récupérer un hacker (également convoité par les russes) dans une prison cubaine afin de faciliter la réélection du président américain et permettre à XIII de devenir vice-président…
Parallèlement à cette intrigue, le général CARRINGTON – toujours accompagné de la fidèle JONES – est aussi candidat à la prochaine élection.
En outre, le dessin de JIGOUNOV est souvent judicieux voire inattendu, les couleurs sont vives tandis que le texte de SENTE est toujours aussi foisonnant (c’est la caractéristique du deuxième cycle).
Le voyage continue puisque la suite – à découvrir – s’intitule Moscow - Spaso House.
6,5/10
Créée
le 7 juin 2023
Critique lue 443 fois
5 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Cuba, où tout a commencé - XIII, tome 28
L’Amérique latine ayant été un terrain important du premier cycle, il est bien normal que le second y fasse aussi un détour, revenant ainsi sur la formation de tireur d’élite suivi par l’amnésique...
Par
le 17 juin 2023
Du même critique
J’avais beaucoup aimé Naissance des pieuvres de la même réalisatrice (avec Adèle HAENEL déjà), mais là, l’ennui l’a emporté sur la curiosité. Je comprends que certains trouvent ce film beau et...
Par
le 22 sept. 2019
32 j'aime
14
Il est assez rare de voir une production nationale d’une telle envergure, avec pour objectif de réinventer rien moins que l’idée d’un cinéma populaire français de qualité, capable de rivaliser avec...
Par
le 2 mai 2023
22 j'aime
13
Les vrais parents sont ceux qui donnent de l’amour et qui élèvent l’enfant. Mais la loi ou les circonstances de la vie vont parfois à l’encontre de ce postulat. C’est ce que montre Le Roman de Jim...
Par
le 7 sept. 2024
21 j'aime
4
