Contrairement à ce que j'ai pu lire dans les commentaires, à la lecture de Cédric, chacun peut y trouver son compte : Les plus jeunes qui s'identifieront à Cédric et ses premiers émois amoureux, ses parents qui ont la tête dans le guidon et doivent assumer, encore que les femmes "au foyer" comme on dit, ne sont plus légions ! Mais le pépé n'est pas en reste et les vrais se reconnaîtront beaucoup dans cet échantillon du troisième âge : je jurerais que c'est autobiographique de ce qu'est Raoul Cauvin !
Après un numéro 9 marrant, un numéro dix plus concret et psychologique, ce numéro onze est absolulment désopilant et je n'ai pu retenir mes éclats de rires, bien que l'ayant lu après avoir rédigé ma déclaration d'impôts 2017 ! Noël inspire décidément toujours Cauvin ! Un grand moment page 25 avec la fête de la nativité de l'école qui se conclut en feu d'artifice avec une chute qu'on n'attendait absolument pas mais qu'on sentait poindre ! Avec en prime toujours un dessin superbement outré de Laudec !
Et le pépé de s'exclamer (de rires) "J'ai mal aux côtes ! Mon Dieu que j'ai mal aux côtes !" Et bien, moi aussi !