L'handicap pathétique par excellence.
Un des premiers mangas de Katsura que j'ai découvert (avec le recueil Zetman des 4 nouvelles) à l'époque. Ca rajeunit pas et ressortir les 5 tomes de l'étagère en constatant que le papier a bien jauni n'aide pas. Qu'est ce que j'ai pu me marrer sur cette romance SF alternant moments sérieux avec d'autres très con-cons. Vomir lors d'un contact visuel ou physique avec une fille nue, il n'y a que dans un manga qu'on peut voir ça. Avec une certaine nostalgie, j'en garde un bon souvenir surtout que dans les années 90, on ne trouvait pas encore toute cette surproduction jap' débordante aujourd'hui nos rayons Fnac et autres librairies . Malgré des irrégularités de rythme (l'arc narratif final est trop court, celui de Kotomi trop long), le dénouement de la relation Karine/Junta, fataliste mais juste, reste touchant.