Déjà le septième tome pour le petit Spirou. Non pas qu'il soit d'une folle originalité mais Tome et Janry arrivent à rendre attachant ces personnages même certains comme Mégot, le prof de gym ou l'abbé Langelusse.
L'histoire qui introduit la BD est comme d'habitude un peu plus profonde que les autres. Déjà parce qu'elle se déroule sur six pages au lieu d'une mais aussi parce qu'elle part d'une bonne action. La mère du petit Spirou lui demande de donner la moitié de ses peluches aux enfants qui n'ont pas la chance d'en avoir.
Pour le reste, on a toujours ce pauvre prof de gym qui arrive à se mettre dans des situations les plus ridicules tout seul. Mademoiselle Chiffre qui, elle, est de plus en plus dénudée voire même totalement dénudée. Ah, il en a de la chance, le petit Spirou. Parce que moi, j'ai eu que des vieilles quand j'étais écolier d'abord.