Depuis le premier volume on a découvert Cerise et sa touchante personnalité, pleine de générosité et d’empathie. Mais sous des dehors enjoués, la jeune fille cache des blessures qui refont surface peu à peu. Quand la plaie devient béante, il devient urgent pour la mère et sa fille d’avoir cette conversation à cœur ouvert qu’elles ont tant repoussé.
Joris Chamblain nous enchante une fois de plus par les émotions qui émanent des personnages mais aussi des situations auxquelles ils sont confrontés. Magnifiquement illustré par la talentueuse Aurélie Neyret, Des premières neiges aux Perséides est la conclusion d’une merveilleuse aventure, d’un touchant récit initiatique au cours duquel Cerise a appris l’importance de l’amitié, de l’amour et de la famille.
C’est avec beaucoup d’émotions que j’ai lu ce cinquième volume des Carnets de Cerise qui m’a beaucoup touché. La saga, portée par le duo Chamblain/Neyret, aura su toucher un lectorat d’âge divers de part sa qualité narrative, son héroïne, ses rencontres et les émotions qui se dégagent de chaque page. C’est avec regret que je tourne la dernière page de cette série qui va me manquer et que seule la relecture pourra permettre de retrouver… A bonne entendeur ????
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