One Shot Pulp Fiction
Le désert, la nuit. Des cuves toxiques, immenses, et deux tueurs envoyés dessouder un type. Avec un dessin appliqué de sales gueules dans un noir et blanc contrasté aux larges aplats d'ombre et de...
le 18 déc. 2015
Le désert, la nuit.
Des cuves toxiques, immenses, et deux tueurs envoyés dessouder un type.
Avec un dessin appliqué de sales gueules dans un noir et blanc contrasté aux larges aplats d'ombre et de nuit, les Deux Tueurs opposent leur point de vue sur les bagnoles, les hommes et le métier dans un plan qui part en sucette, jusqu’au black out.
Il y a du Quentin Tarantino, une paire de tueurs à la Vincent Vega et Jules Winnfield, dans un dérapage sanglant à la Reservoir Dogs. Le rythme de l’histoire se déroule sur celui de la discussion sentencieuse qui l'anime, jouant de l’ironie au tragique.
Un court volume noir, pulp fiction où le crime ne paie pas.
Créée
le 18 déc. 2015
Critique lue 278 fois
D'autres avis sur Deux tueurs
Le désert, la nuit. Des cuves toxiques, immenses, et deux tueurs envoyés dessouder un type. Avec un dessin appliqué de sales gueules dans un noir et blanc contrasté aux larges aplats d'ombre et de...
le 18 déc. 2015
Du même critique
Marco reprend la photographie. Marco accepte de vivre avec Émilie. Marco a peur pour son père, atteint d’Alzheimer. En préambule à l’album, Manu Larcenet use d’une citation de Jacques Brel pour...
le 8 nov. 2015
10 j'aime
Le premier volume de la série renferme trois histoires courtes à travers lesquelles Peyo esquisse l’univers de ses petits bonhommes bleus et pose les bases de son art du scénario. Trois histoires...
le 5 mars 2015
10 j'aime
2
Adapté de L’Assommoir d’Émile Zola, ce film de René Clément s’éloigne du sujet principal de l’œuvre, l’alcool et ses ravages sur le monde ouvrier, pour se consacrer au destin de Gervaise, miséreuse...
le 26 nov. 2015
7 j'aime
1