Rose d'adieu.
Un bijou de gameplay au point que je peux enfin pousser la note jusqu'à 9 sur un projet estampillé "Fabula-j'ai-eu-les-yeux-plus-gros-que-le-ventre". Parlons-en justement de cette mythologie: à...
Par
le 24 mai 2014
26 j'aime
8
⚠️ Une maintenance est prévue ce Mercredi 4 décembre de 9h00 à 13h. Le site sera inacessible pendant cette période.
Critique du 1er tome (édition FNAC) Surprise de la rentrée, après le succès de la BD franco-belge sortie l'année dernière chez Kana, l'éditeur Isan Manga sort le 1er des 4 tomes de Dynamic Heroes. Il s'agit d'un récit imaginé par Go Nagai en 2004, se passant plus d'un an après la fin de Goldorak (comme par hasard). Sauf qu'il est ici question d'une réunion all stars du Nagai Universe, à savoir Mazinger Z, Devil Man et tant d'autres face à leurs ennemis respectifs. C'est comme si Nagai écrivait un peu son "Avengers".
Autrement dit, sur les 180 pages de BD, on voit assez peu le casting de UFO Grendizer vu qu'il faut équilibrer sa présence avec celle des autres licences. Il faut pourtant avouer que le début du récit suit parfaitement la fin du 74e épisode de l'anime où on voit Alcor secourir Phenicia revenir sur terre, seule, à bord de la soucoupe porteuse, sans Goldorak. Que s'est-il passé exactement? C'est ce que l'on va découvrir dans ce 1er tome. Difficile de comparer l'ambition du scénario de Nagai (4 tomes) par rapport à la vision de l'équipe de Dorison (1 tome), publiée en 2021. Par contre, le goût libertin et polisson de l'auteur japonais se ressent ici: c'est le festival de la petite culotte montrée par inadvertance car bon nombres d'héroïnes sont en jupe et doivent se battre. Au passage, la pauvre Cherry Miel prend cher. Pour ce qui est de la réalisation, c'est WOW! L'album a une couverture en dur, 200 pages en papier épais et de qualité, entièrement en couleur. On a l'impression de regarder un anime des années 70 tant le trait de Kazuhiro Ochi est magnifique et s'en rapproche. L'édition propose 3 versions: une avec la trad' française des attaques, fidèle à la VF de l'anime, une autre avec les noms d'origine non traduits et enfin la version FNAC (celle que j'ai prise) avec une couverture alternative. Au final, difficile de conseiller cette oeuvre si on ne veut lire que du Goldorak. Mais si on est fan du travail global de Nagai, impossible de passer à coté même si l'investissement de 30€ par album pourra faire grincer des dents.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 27 sept. 2022
Critique lue 241 fois
2 j'aime
Du même critique
Un bijou de gameplay au point que je peux enfin pousser la note jusqu'à 9 sur un projet estampillé "Fabula-j'ai-eu-les-yeux-plus-gros-que-le-ventre". Parlons-en justement de cette mythologie: à...
Par
le 24 mai 2014
26 j'aime
8
Mettre Gwen Stacy et le Bouffon vert dans le même film, ça suscite forcément une grande curiosité surtout lorsqu'on sait comment se passe la rencontre entre ces 2 personnages dans le comics d'origine...
Par
le 5 mai 2014
20 j'aime
3
Cinq français ont osé l'impossible : scénariser un vrai épilogue sur l'animé pionnier de la popularité de la japanim' en France, le fameux Goldorak de Go Nagai. Lorsque le prince d'Euphor a débarqué...
Par
le 17 oct. 2021
15 j'aime