Tellement ennuyeux à lire
Je dois bien reconnaître que j’ai mis un peu de temps à me lancer dans le deuxième tome de ces Geoff Johns présente Flash. Pour moi, Flash c’est Barry Allen ! Wally West, je ne suis vraiment pas fan,...
le 4 sept. 2022
Je dois bien reconnaître que j’ai mis un peu de temps à me lancer dans le deuxième tome de ces Geoff Johns présente Flash. Pour moi, Flash c’est Barry Allen ! Wally West, je ne suis vraiment pas fan, encore moins lorsqu’il se retrouve avec le costume de Barry. Et puis, je dois bien avouer, également, que je n’ai pas véritablement été emballé par le premier tome. Des épisodes qui se laissaient lire mais sans plus.
La prison d’Iron Heights est la plus sécurisée de tout Keyston City : c’est là où l’on enferme les Lascars, les criminels à super-pouvoirs qui s’opposent régulièrement à Flash. Mais le nouveau directeur de la prison Gregory Wolfe, rivalise en dangerosité et brutalité avec ces malfrats et Flash ne semble pas à l’aise avec ses méthodes de rétention.
Geoff Johns présente Flash présente l’odyssée épique de Wally West, le Flash de la période classique. En reprenant ce héros, Geoff Johns, qui a supervisé le lancement de la Renaissance DC en écrivant la mini-série Flashpoint, a redéfini une icône de la Ligue de Justice pour une nouvelle génération de lecteurs. La série bénéficie également du traitement graphique énergique apporté par Ethan Van Sciver (Green Lantern Corps) et Scott Kolins (Blue Beetle) ainsi que des couvertures détaillées de Brian Bolland (Killing Joke).
(Contient les épisodes The Flash #177 à 183, The Flash : Iron Heights, The Flash : Our Worlds at War, The Flash : Secret Files and Origins, DC First Flash/Superman #1)
Bon, je vais être franc, en lisant ce deuxième tome des aventures de Flash, version Wally West, par Geoff Johns, je me rend compte que je ne suis pas vraiment au point des aventures du Bolide pré-Flashpoint. Et on ne peut pas dire, qu’à l’instar de Batman, principalement, ou de Green Lantern et la Justice League à moindre mesure, que Urban Comics nous propose beaucoup de choses sur le personnage. Pourtant passionnant et iconique.
A plusieurs reprises, je me suis dit, « il me manque des informations », mais cela n’a pas gêné la lecture. En savoir plus l’aurait peut-être rendu plus fluide.
J’ai eu un peu de mal avec ce second volume. S’il se passe beaucoup de choses, j’ai également la sensation inverse, comme s’il ne se passait rien. C’est assez paradoxal, et pourtant. Beaucoup d’intrigues, beaucoup d’histoires différentes, mais l’impression que tout cela ne mène nulle part, qu’il n’y a absolument pas de fil rouge.
Il faut dire, que ce tome est marqué par des events extérieurs au titre, des events que je n’ai pas lu, du coup des épisodes qui m’ont semblé hermétiques à me laisser rentrer. Je parle de Our Worlds at War.
Pour la suite, beaucoup d’intrigues comme je le dis plus haut. Avec beaucoup de personnages, le retour de certains (comme le Fifre), l’arrivée d’autres (comme Hunter Solomon ou Gregory Wolfe), et une équipe de Lascars bien surprenante. Wally West propose une farouche opposition à chaque nouvelle épreuve. Tout en jonglant avec sa vie de couple, et le nouveau tournant que Linda donne à sa vie, ou encore les coups durs qui semblent s’abattre sur ses proches.
Pas de mauvaises histoires, mais je ne suis pas parvenue à rentrer dedans, à m’y intéresser. Comme l’impression de survoler les pages pour vite arriver à la fin, espérant sans cesse que les choses s’emballent en m’emportent. Oui, on comprend qu’il se passe quelque chose avec le Fifre. Oui, on sent qu’il se passe quelque chose de pas très catholique dans la prison de Iron Heights. Oui, on devine facilement que ces nouveaux Lascars vont s’en prendre à Flash.
Mais rien qui ne me fasse dire « whaouh », rien qui ne pousse à continuer ma lecture jusqu’à la dernière mage sans jamais reposer mon livre, rien de franchement prometteur et passionnant.
Graphiquement, c’est un peu la douche froide. En quatrième de couverture, Urban Comics nous annonce Ethan Van Sciver et Scott Kolins. Malheureusement, le premier, dont j’adore le travail, ne signe que un ou deux épisodes avant de disparaître… Et je me retrouve avec pratiquement trois cents pages d’un artiste dont j’ai horreur… Les planches de Scott Kolins sont illisibles à mes yeux.
Bref, un deuxième tome éprouvant à lire. Ennuyeux, vraiment pas beau, je ne lui trouve aucun véritable intérêt ou point positif. Ce n’est pas nul ou mauvais, juste cela ne m’a pas intéressé.
Créée
le 4 sept. 2022
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