En un jeu cruel - Chroniques de la Lune Noire, tome 0 par SPlissken

Aussi fin qu'une taloche de géant dans la tronche, aussi subtil que des avances de succube en chaleur, Les Chroniques de la Lune Noire c'est avant tout une fresque qui emporte tout dans sa démesure graphique et scénaristique :des combats gigantesques, des coups d'épées runiques (+1d12 feu magique et jet de sauvegarde -5 sur créatures d'alignement loyal bon ) qui fendent les ennemis comme une motte de beurre et des personnages sur humains qui vont faire trembler le monde.
Les premiers tomes représentent beaucoup de souvenirs pour moi, leurs parutions étaient attendues avec une démence à peine contrôlée.
SPlissken
7
Écrit par

Créée

le 29 oct. 2011

Critique lue 227 fois

1 j'aime

SPlissken

Écrit par

Critique lue 227 fois

1

D'autres avis sur En un jeu cruel - Chroniques de la Lune Noire, tome 0

En un jeu cruel - Chroniques de la Lune Noire, tome 0
Zhein
3

Critique de En un jeu cruel - Chroniques de la Lune Noire, tome 0 par Zhein

Les chroniques de la Lune Noire... Voila une série qui commençait bien, intéressante, des dessins de Ledroit - donc qui déchirent-, une histoire pas trop mauvaise, avec des bonnes idées... Et là,...

le 23 sept. 2010

6 j'aime

Du même critique

The Thing
SPlissken
10

Critique de The Thing par SPlissken

La grande majorité des films de Carpenter partent d'un conflit, un conflit qui tend à supprimer l'individu au profit de quelque chose de plus global et surtout de maîtrisé. En somme le cinéaste n'en...

le 23 nov. 2012

62 j'aime

10

Vol au-dessus d'un nid de coucou
SPlissken
10

Critique de Vol au-dessus d'un nid de coucou par SPlissken

McMurphy est un électron libre, il tente de se soustraire à la prison est choisissant l'option hôpital psychiatrique mais les fenêtres ici aussi ont des barreaux. Il va aussi découvrir que les...

le 8 mars 2013

60 j'aime

4

Seven
SPlissken
9

7 deadly sins, 7 ways to die

Fin de l'obscurité, fin d'un film, dehors la pluie venait de cesser. Les rues brillaient, la foule réapparaissait, les parapluies se fermaient. Peu à peu toute la ville reprenait son ronronnement...

le 12 oct. 2010

58 j'aime

12