Je n'aime pas l'orientation prise par Robinson au dessin, qu'il avait déjà prise pour The Boys. Je préfère de loin, son trait plus clair et précis de Transmet. Quand au scénario, Morrison pond, une fois n'est pas coutume, un récit accessible en s'attaquant au polar. L'histoire est assez classique pour le genre, même s'il y apporte du fantastique et du merveilleux. Le duo fonctionne bien, mais je ne pense pas gardé beaucoup de souvenir de cette histoire. Je reste donc un peu sur ma faim C'est peut-être ça le souci des auteurs talentueux quand, il ne livre pas de l'exceptionnel, on est toujours un peu déçu.